jeudi 20 octobre 2011

Des voitures autonomes grâce Street View

Chérie, devine qui conduit ?

En 2007, Google lançait Street View, une fonctionnalité de Google Map permettant d'explorer les villes et les sites touristiques du monde entier en bénéficiant d'images des rues à 360°. Depuis, la firme développe et expérimente un tout nouveau système basé sur ladite fonctionnalité. La mise au point de ce dispositif pourrait bien révolutionner le quotidien. En effet, une voiture munis d’un tel système, devrait entre en mesure de se passer de chauffeur. Cela en tiendrait presque de la science-fiction !

En termes de technologie, BoingBoing explique « qu'elle se base sur une cartographie très précise du territoire mêlée à des positions GPS. » Il faut tout de même rouler plusieurs fois sur le même chemin pour que le système puisse engranger assez de données pour pouvoir se repérer dans l’espace. Pour l’instant, le système a était expérimenté sur des voitures mais aussi sur des véhicule de moindre envergure comme les tricycles ou les motoneiges. Le but étant de pouvoir atteindre les lieux que la voiture ne permet pas.

Malheureusement, ce système n’est pas près d’arriver dans nos voitures car il présente encore des imparités (obligation d’accumuler des données sur l’environnement) en termes techniques et juridique. En cas d’accident, il serait impossible de définir un responsable. Et il faudra encore du temps (et de l’audace) avant qu’un responsable politique prenne le risque de se lancer dans l’aventure ou qu’un assureur accepte d’assurer un véhicule sans chauffeur. Rassurez-vous, le permis a encore de beau jour devant lui.

Raphaël Sauvage


Source : http://www.numerama.com/magazine/20269-google-experimente-des-voitures-sans-chauffeur-pour-street-view.htm

http://boingboing.net/2011/10/19/footage-from-test-runs-of-google-driverless-cars.html

http://www.youtube.com/watch?v=YXylqtEQ0tk&feature=player_embedded

Une imprimante culinaire 3D.

L’imprimante 3D au service de la cuisine:

Une des dernières innovations en matière d’impression 3D est l’imprimante alimentaire. Il existe plusieurs projets existant à partir du projet Fab@home, qui permet à tout le monde de construire sa propre imprimante 3D. Je vais vous parler ici du projet Cornucopia qui m’a semblé être le plus intéressant.

Le projet Cornucopia :


Qu’es que c’est ?


N’avez-vous jamais rêvé de vous préparer à manger en appuyant sur un simple bouton ?

Marcelo Coelho et Amit Zoran, deux étudiants américains ont eu l’idée novatrice de concevoir cette imprimante alimentaire capable de réaliser un plat sans effort pour son utilisateur.

Ce projet n’est resté qu’à la phase de prototype pour l’instant.



Comment ça marche ?

Le principe est le même qu’une imprimante 3D classique. Le produit final se modélise grâce à la superposition de fine couche 2D sauf qu’ici le plastique fondu est remplacé par de la nourriture.

De plus cette machine est capable de stoker les ingrédients, les mélanger puis les cuire. Le seul inconvénient pour l’utilisateur sera le choix de ses ingrédients car les ingrédients doivent être liquide ou du moins qu’ils puissent être répartis par une seringue.

La magie de ce petit bijou ne s’arrête pas là, les ingrédients stockés dans les buses sont réfrigérer et ils sont automatiquement commandés lorsque leurs stocke diminue.

Et alors ?

Bien sur, cette façon de faire la cuisine ne pourra pas conquérir tout le monde mais je pense que cela pourra avoir du succès à l’avenir, au même titre que la cuisine moléculaire, pour réaliser des plats visuellement « spectaculaire ». Je vois plus son utilisation dans la réalisation de dessert extravagant que pour des plats. Il existe d'ailleurs ce genre d'application avec des desserts aux chocolats.

Pour conclure, je trouve cette innovation très bien réalisé et bien pensé mais je demande qu’une chose c’est de pouvoir goûter une réalisation de cette imprimante pour me faire définitivement un avis. Dans tous les cas il me semble que l’imprimante culinaire 3D pourrait devenir LA principale application dans les prochaines années dans le monde de l’impression 3D.

Qu’en pensez-vous?

Thomas Vautrin.

Lien : http://www.orgone-design.com/blog/cornucopia-une-imprimante-alimentaire-dans-votre-cuisine/

http://ccdessert.com/blog/2010/01/cornucopia-imprimante-alimentaire/

http://www.maxisciences.com/imprimante/une-imprimante-alimentaire-imprime-vos-creations-en-3d-et-en-chocolat_mrm77445.html



Le cerveau humain en puce

Quand la science-fiction rejoint la réalité 



Je sais ce que vous vous dites : « C’est ça, on nous raconte encore des bobards… ». Mais l’un des plus grand fantasme de tout passionné de science-fiction semble devenir réalité.

IBM a développé depuis ces 5 dernières années un projet nommé « Blue Brain Project ». Ce projet a pour but de recréer un cerveau humain en l’espace de 10 ans.  Loin de se contenter de simplement reproduire des cerveaux humains par le biais de super calculateurs (voir photo ci-dessous), IBM a réussi le pari complétement fou de créer des neurones artificiels.



Je vous sens sceptique tout à coup. Si,si vous n’avez pas l’air d’y croire. Mais, la puce baptisée SyNPASE (pour Systems of Neuromorphic Adaptive Plastic Scalable Electronics)  ne fait que 45 nm.  Elle contient en réalité 2 puces différentes. La première est chargée d’effectuer des choix avec l’aide de ces 256 neurones artificiels. La seconde contient quant à elle 65 536 synapses. Ces derniers fonctionnent comme ceux contenu dans le cerveau humain. Ils doivent établir des connexions entre les neurones pour véhiculer l’information. Plus ces liaisons sont fortes et plus le cerveau est performant.

J’en vois qui rigole dans le fond. Bon, c’est vrai, n’importe quel humain possède des milliards de synapses dans son cerveau. Et je suis le premier à reconnaître qu’on est loin des robots fonctionnant comme dans le film « I-robot » ou « l’homme bicentenaire ».  Mais le simple fait d’avoir un ordinateur qui peut apprendre par lui-même et déjà impressionnant en soi. Imaginer que vous ne deviez plus appeler votre hotline pour une réparation d’adresse IP et que ce soit votre qui s’en charge directement. Bien sûr, IBM ne peut pas encore donner de date à une future commercialisation d’un tel concept. Cependant, ils nous promettent déjà que cette évolution va révolutionner l’informatique.

SAINT-GERMAIN Jean-Alexandre



Quantter, application twitter innovante

Le quantified self et un mouvement qui tend grandement à ce développer ces dernière années. L’application Quantter surf ainsi sur le succès des réseau sociaux pour ce développer et amener les populations à ce quantifier.

Ce concept n’est pas nouveau et existe depuis un certain nombre d’année à travers des application comme Nike+. Quantter permet de quantifier ça vie, pas seulement sur le sport mais sur tous les domaines: La nourriture, la propreté, ou encore tout ce qu’on devrait faire mais qu’on ne fait pas par manque de motivation. Mettre en chiffre son activité et un moyen de se motiver.






Quantter à un principe simple d’utilisation, il fonctionne sur twitter en utilisant le système de #hastags. Vous n’avez plus qu’a publier et l’application s’occupe de mettre à jour votre profile. Le fait de publier sur twitter permet aux autres utilisateur de voire que vous fessez et ainsi ils peuvent vous encourager.

Une Application Iphone à vue le jour récemment ce qui devrait permettre une vulgarisation de cette application. Par la suite une petite «Gamification» de l’application permettrai de rendre un petit côté addictif et ainsi faire appel aux esprits compétiteurs des utilisateurs.




Bruno LAPIERRE.

mercredi 19 octobre 2011

L’Impression 3D donne une Nouvelle Dimension à nos Dessins !!



Aujourd’hui, il est possible d’obtenir un dessin en 3 dimensions à partir simplement d’une feuille en 2D grâce à un logiciel gratuit qui s’appelle : Graffiti Analysis. Vous allez me demandez : « Mais que néni, comment cela peut – il être possible ? ».

Tout d’abord pour réaliser cela il faut : une feuille de papier, un ordinateur sur lequel il y est téléchargé le logiciel, une caméra, une imprimante 3D, et une source de lumière attaché à un crayon. Ensuite lorsque tout ce matériel est réuni, il suffit de dessiner sur la feuille avec le crayon devant la caméra. Le logiciel pendant ce temps là enregistrera en 3D tous les mouvements lors du geste créatif. Puis la REPRAP pourra imprimer le fichier 3D créé.

On peut voir son fonctionnement sur cette vidéo :





Néanmoins, il aussi possible de faire des dessins en 3D simplement tactilement avec un IPhone ayant l’application du logiciel. On peut faire le dessin cette fois ci par le biais de l’écran tactile,puis on envoie par Bluetooth ou par internet le fichier à l’imprimante

Ceci ci reste vraiment intéressant grâce à sa grande simplicité au niveau du matériel utilisé mais aussi au niveau de son utilisation. En effet, ce projet reste accessible à la portée des enfants, et un jeune pourra par conséquent commencer à concurrencer les entreprises. Ainsi, c’est de part cette simplicité que ce projet est en train de donner plus de liberté à la créativité du grand public au détriment des industriels. Sachant que des imprimantes 3D personnelles sont déjà en vente au Japon pour 800 euros l’unité, on est en droit de se demander si la révolution n’est pas en marche.

Ruellan Jérémy

Tags : dessin 2D, sculpture 3D, création, concurrence, grand public

Source : http://graffitianalysis.com/how-to/

mardi 18 octobre 2011


Qu’est ce que le « Quantified Self » (QS)?




Avant de vous parler du QS, il vous faut savoir qu’est ce que le « self-tracking » ! Ceci est le principe de pratiquer des suivis. Elle peut très bien se voir appliqué sur le suivi de son travail, du sommeil, de vos exercices physiques, votre régime, etc. Cette pratique s’est développée dès l’apparition des premiers appareils de mesures.

Je peux maintenant vous parler du QS. D’après bitchlemagazine « A partir de 2008, Garry Wolf et Kevin Kelly ont initié une série de rencontres dans la Baie de San Francisco, les « QS Show & Tell ». Ces rencontres permettent aux adeptes de témoigner de leurs pratiques de mesure et de ce qu’ils en ont appris. C’est aussi le moment idéal pour présenter des outils et des méthodes de mesure de soi à des passionnés. San Francisco, New-York, Amsterdam, Londres, Paris… aujourd’hui plus de 30 villes organisent des rencontres QS Show&Tell. Le guide des outils de QuantifiedSelf comptent pas moins de 450 outils, on peut donc effectivement parler de tendance.» En revenant au « QS Show & Tell », ceci est un rassemblement de personnes pratiquant le self-tracking. Ces rassemblemnts recoupent plusieurs sujets :  le pilotage du comportement, le suivi de position, les données numériques corporelles, le partage de données de santé, l'auto diagnostic, l'analyse de son patrimoine génétique, le lifelogging et l'expérimentation de soi. Le format show&tell permet à chacun de se lever et de présenter quelque chose de digne d'intérêt en quelques minutes, puis de répondre à quelques questions avant de se rasseoir.

Comment commencer?

Pour effectuer son QS il existe deux méthodes, une est simple, la notation sur Excel ou papier et une seconde, l'utilisation de logiciels. Pour commencer, Quantter, RunKeeper ou PoidsCible sont gratuit et donc conseillé. Ces outils permettent de définir des objectifs, d'enregistrer des données de les analyser et de les partager.






Ces méthodes de quantification de soi pourraient avoir une vision plus grande qu’une simple collection et analyse de ces derniers. En médecine, par exemple, il serait possible de réaliser un suivi instantanément et à distance des patients. Ils seraient aussi possible de récupérer l’ensemble des donné des trottoirs pour ainsi créer des GPS pour handicapé mais ceci n’est seulement qu’un exemple parmi temps d'autres…




 O.Beltrando

Tags: Quantifed self, self-tracking, Qs Show & Tell, Quantter, RunKeeper, PoidsCible

Source :

Imprimante Internet 3D





Imprimer un objet que l’on voit sur une page internet selon la matière que l’on souhaite (métaux, bois, plastique, bio, etc.…), seulement en changeant de cartouches comme la plupart des cartouches d’encres d’imprimante que l’on achète chez le magasin du coin.

En tapant assiette sur google image, on pourra imprimer une des assiettes vue sur la page.

Ceci est un rêve de science fiction qui devrait voir le jour dans un futur proche. Il est très bien illustré cet exemple notamment sur une vidéo sur internet (http://www.numerama.com/magazine/19353-imprimantes-3d-une-video-pour-comprendre-les-enjeux.html).

Sur cette vidéo, la personne définit l’objet qu’elle veut créer depuis un logiciel, puis elle va l’imprimer. Cette vidéo montre comment le consommateur devient acteur de sa propre consommation en améliorant les objets qui étaient autrefois fabriqués sur le même modèle.

Ce système sera assisté par l’ordinateur et permettra aux personnes de personnaliser les objets qu’elles souhaitent avoir lors de l’impression (couleur, matière, modification de la forme, …). Cette personnalisation individuelle sera alors une nouvelle forme de concurrence pour les entreprises, qui certainement verront leurs prix baissés.

A la fois cette concurrence sera financière mais elle sera aussi présente au niveau de la diversité. On n’achètera plus des objets créés par quelqu’un d’autre, mais des objets customisés selon nos propres envies. On ne s’orientera plus vers des produits de marques, mais vers des produits individualisés.

Tags: enjeux, imprimante 3D, grand public, production, personnalisation, amélioration

Source: http://www.numerama.com/magazine/19353-imprimantes-3d-une-video-pour-comprendre-les-enjeux.html